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Pourquoi le Club de la presse Drôme Ardèche fait évoluer ses statuts

Le bureau du Club de la presse Drôme Ardèche proposera à ses adhérents lors d’une assemblée générale extraordinaire la révision de ses statuts. On fait le point avec Aurélien Tournier, premier vice-président de l’association, qui a porté ce dossier.

Pouvez-vous nous présenter en quelques mots ce club de la presse ?

Créée en 1992, le Club de la presse Drôme Ardèche est une association qui rassemble les professionnels de l’information et de la communication. Nous menons tout au long de l’année diverses actions : nous organisons par exemple des visites sur le terrain, des conférences, des débats, le prix journalistique Eco-Reportages, nous participons également à des ateliers d’éducation aux médias (EMI), nous réalisons un annuaire professionnel, etc.

Pourquoi avoir demandé une révision des statuts ?

On a souhaité réaffirmer notre rôle et nos missions. Oui, le Club est un espace d’échanges et de réflexion entre les professionnels de l’information et de la communication. Mais nous avons aussi voulu rappeler notre rôle vis-à-vis des médias. Depuis plusieurs années, le Club prend position sur l’actualité liée à la presse, nous prenons part à des ateliers d’EMI…. Cette réalité est désormais inscrite dans nos statuts.

Il s’agissait également de faciliter la gestion quotidienne de l’association. De nombreux points faisaient chaque année l’objet de discussions. Cette fois-ci, c’est acté et il conviendra de se conformer à ces nouveaux statuts.

Ces derniers n’avaient pas évolué depuis 2007. La révision de ces statuts, ce n’est pas seulement que pour la mandature actuelle. Nous avons aussi pensé aux prochains administrateurs et à notre association, pour qu’elle puisse perdurer dans le temps.

Cette révision a-t-elle demandé beaucoup de travail ? 

Bien sûr. L’administration d’une association demande toujours du temps. Mais cette révision était vraiment nécessaire.

Le bureau de l’association s’était positionné en septembre 2021 sur cette révision. Il y a eu par la suite deux réunions de travail, en visioconférence. Nous avons été très vigilants sur chaque mot. Les membres du conseil d’administration ont également été consultés. Désormais, c’est à l’ensemble de nos adhérents de se prononcer.